Tandis que les négociations formation professionnelle et apprentissage sont bloquées par la faute du patronat, la troisième séance de négociation sur l’assurance chômage a continué à aborder les sujets à l’ordre du jour : droits pour les démissionnaires, pour les indépendants, limitation des contrats courts, sanctions contre les chômeurs, gouvernance. La CGT, sans se limiter aux sujets imposés par le gouvernement, a porté l’exigence de nouveaux droits sur la base de la Sécurité sociale professionnelle, assise sur la cotisation, et a remis un texte de propositions. Le Medef a présenté un projet d’accord, inacceptable en l’état.La CGT est la seule organisation syndicale à avoir proposé un document écrit.
dimanche, 28 janvier 2018