Cette hausse témoigne, selon l'ONPES, d’« un élargissement de la pauvreté à des publics jusqu'alors épargnés », et elle est due aussi bien à la dégradation profonde du marché du travail qu'à l'accroissement des inégalités de revenus.
Les personnes privées d'emploi, les familles monoparentales et les jeunes sont les premières victimes de la crise de longue durée.