La CGT affirme que le geste du salarié «est une fois de plus la conséquence d'une organisation du travail maintes fois dénoncée. […] Une semaine avant le drame, les élu(e)s CGT avaient pourtant alerté la direction du mal-être de leur collègue et des tensions dans son unité depuis plusieurs mois», affirme le syndicat.
«Après quelques temps d'accalmie, l'entreprise renoue avec ses vieux démons et sous prétexte d'une concurrence accrue et d'une baisse du chiffre d'affaires, met à nouveau la pression sur les salariés», dit la CGT.